L’application de la « loi 96 » sur la langue française aux sites transactionnels d’entreprises étrangères continue de faire des vagues. La Presse a répertorié une douzaine d’entreprises qui ont cessé de vendre leurs produits et services dans la province. Au grand dam de nombreux Québécois.
Honnêtement je m’en fous un peu. S’il nous manque des produits ou des services, on peut aller les chercher ailleurs où ils vont respecter nos lois et notre langue. Notamment, en Europe.
J’en ai un peu ma claque des Américains et de leur culture monolithique anglonormative qui est en train d’écraser toutes les cultures du monde. Ils peuvent garder leurs book clubs s’ils le veulent.
le français peut vraiment être une alternative pour l’anglais: déja pas mal de territoire francophone autour du monde: les départements outre mer, la belgique, et même en autriche, avec un tas de pays africains qui utilisent le français comme deuxième langue: on est pas tous obliger de parler anglais ou apprendre du chinois pour faire du commerce
Honnêtement je m’en fous un peu. S’il nous manque des produits ou des services, on peut aller les chercher ailleurs où ils vont respecter nos lois et notre langue. Notamment, en Europe.
J’en ai un peu ma claque des Américains et de leur culture monolithique anglonormative qui est en train d’écraser toutes les cultures du monde. Ils peuvent garder leurs book clubs s’ils le veulent.
le français peut vraiment être une alternative pour l’anglais: déja pas mal de territoire francophone autour du monde: les départements outre mer, la belgique, et même en autriche, avec un tas de pays africains qui utilisent le français comme deuxième langue: on est pas tous obliger de parler anglais ou apprendre du chinois pour faire du commerce